La top-modèle slovaque a accueilli à l’âge de 46 ans une petite fille prénommée Nina avec son mari André Ohanian, dont elle s’est séparée depuis
Malgré son envie tardive de maternité, Adriana Karembeu n’a pas cessé le combat pour devenir maman. À l’occasion de la sortie de son autobiographie Libre , parue le 2 mai dernier aux éditions Leduc, l’ambassadrice de la Croix-Rouge s’est ouverte sur son parcours vers la maternité avec la naissance de sa fille en 2018. La maman de Nina, qui a confié qu’elle ne s’était pas sentie prête à devenir mère avant la quarantaine, a révélé que son parcours avait été bien compliqué.
« Mon envie de maternité est arrivée sur le tard, vers 42 ans », a-t-elle déclaré dans les colonnes du magazine Télé 7 Jours, malgré les « supers partenaires » qu’elle a dit avoir eus par le passé, dont l’ex-footballeur Christian Karembeu à qui elle a été mariée entre 1998 et 2011. Le prix de cette envie tardive a été quelques essais sans succès. « Après une fausse couche et deux FIV [fécondations in vitro], j’ai décidé de congeler mes ovocytes, et Nina est issue de l’un de ces œufs. »
« C’est vraiment une guerre »
Face à la naissance de ce bébé miracle, Adriana Karembeu s’est estimée « très chanceuse ». « 6 % des femmes après quarante ans réussissent à avoir un enfant naturellement », a-t-elle expliqué. « Ils m’ont dit que ça [allait] être très très très dur ! » Mais elle n’a pas baissé les bras pour autant et s’est reposée sur les progrès de la médecine reproductive.
« Je me suis dit : ''On va faire cette guerre !'' Parce que c’est vraiment une guerre. Donc oui, j’ai subi des FIV, des fausses couches », s’est-elle remémoré, soulignant aussi le fait qu’elle regrettait de ne pas avoir essayé de fonder une famille plus tôt pour avoir la possibilité d’accueillir plusieurs enfants.
« Je regrette d’avoir attendu si longtemps », a-t-elle admis. « Déjà parce que c’était un miracle de tomber enceinte, mais aussi parce que j’aurais adoré faire plusieurs enfants. J’ai essayé, mais ça n’a pas marché. » La petite Nina , qui fêtera ses six ans cet été, devra donc se passer de frères et sœurs du côté de sa maman, qui se réjouit tout de même des moments passés avec sa fille après un combat gagné au moins une fois.
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