top of page

Carla Bruni confie qu’elle n’est « pas du tout en rémission » de son cancer du sein


La chanteuse avait révélé sa maladie à l’occasion d’Octobre rose l’année dernière pour encourager au dépistage


Il y a quelques mois, Carla Bruni-Sarkozy profitait d’une campagne de sensibilisation d’Octobre rose pour révéler sa propre lutte contre le cancer du sein . « Chirurgie, radiothérapie, hormonothérapie, je parcours le chemin habituel pour traiter ce genre de cancer. Mais j’ai eu de la chance : mon cancer n’était pas encore agressif. »


En couverture du dernier Vanity Fair, l’interprète de Quelqu’un m’a dit a confié être toujours sous traitement. « Je ne suis pas du tout en rémission », a déclaré la chanteuse de 56 ans. Mais la star a vraisemblablement passé une étape.


« Période magique »


« Le cancer ouvre de nouvelles portes » estime-t-elle . « On entend quand même les balles siffler à son oreille ! Et après le premier choc passé, c’est pratiquement vivifiant, même si c’est douloureux, inquiétant et angoissant. »


Étrangement, l’épouse de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy dit être « dans une période assez magique », « grâce à toutes ces thérapies, dont l’EMDR, qui commencent à porter leurs fruits. »


On apprend ainsi que la top-modèle fait l’objet d’« un suivi thérapeutique constant ».


Une femme apaisée


« J’ai fait de la psychanalyse quand j’ai découvert que j’avais un père biologique qui n’était pas celui qui m’avait élevée. J’ai travaillé à comprendre, à me comprendre, puis j’ai découvert des thérapies qui ne sont pas reliées à la parole, mais aux sensations, aux émotions et aux souvenirs enfouis », explique-t-elle.


C’est donc une femme apaisée qui prend aujourd’hui son temps, notamment pour cet album qu’elle mûrit depuis un moment, « la gestation de moi-même ».


Un traitement difficile


Et même si son traitement est « dur » et que le « Tamoxifène provoque des prises de poids » chez celle qui n’avait jusqu’alors peu eu à se préoccuper de sa silhouette, elle retient le positif de chaque chose.


« Je me dis : quelle merveille, j’ai ce médicament ! J’ai une petite fille de 12 ans : je veux pouvoir la voir grande, grande… » De quoi donner de la force pour ce combat quotidien à celle qui a deux enfants, Giulia, et Aurélien, 23 ans.


0 vue0 commentaire

Comentarios


bottom of page