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Jamel Debbouze était très ému de porter la flamme olympique dans son quartier natal de Barbès


L’humoriste faisait partie des 11.000 relayeurs de la flamme olympique en France et des quelques stars qui l’ont porté lors de son arrivée à Paris


Jamel Debbouze a vécu un grand moment dans le quartier qui l’a vu naître. L’humoriste s’est joint ce matin au relais parisien de la flamme olympique , qu’il a fièrement récupérée dans les rues de Barbès, dans le 18e arrondissement. L’acteur de la série H a ensuite défilé sur plusieurs mètres sans se défaire une seule seconde de son sourire face à la foule qui s’est réunie autour pour l’occasion.


S’il a avoué à France Télévisions l’an dernier avoir « le trac » face à cette « responsabilité », et peur de « trébucher », son passage s’est néanmoins déroulé sans embûches. Au micro de France 2 , l’humoriste avait même les larmes aux yeux avant de commencer son relais.


« Je participe à l’histoire, je suis très, très heureux. Surtout ici à Barbès, où je suis né, ça me fait vraiment quelque chose. C’est différent de tout ce que j’ai fait », explique-t-il.


« Une vraie fête »


Plus tard, le comédien s’est aussi réjoui de la sélection des relayeurs, qui compte autant de personnalités publiques que civiles, comme Ludovic Franceschet, éboueur de la ville connu sur TikTok pour ses vidéos sensibilisant le public sur son métier.


« Les jeux concernent tout le monde et tout le monde se les approprie », a déclaré Jamel Debouzze . « Il n’y a aucune différence, on est tous ensemble et on fait tous la même chose : le sport, la performance, et c’est une vraie fête. »

Évoquant ensuite son « affection particulière » pour le hip-hop, l’humoriste s’est montré particulièrement enthousiaste à l’idée de découvrir les épreuves de breakdance. À la fin de son parcours ce week-end, l’époux de Mélissa Theriau a relayé la flamme qui a ensuite poursuivi son chemin à travers la capitale. Avant le clap de fin de son passage, Jamel Debbouze n’a évidemment pas oublié d’honorer, par le biais de quelques photos, les Parisiens.

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